
Maquette finale - 1:300
Figure - 1:300 (Avec indication qualitative de la distance des points d'intersection avec le centre du pavillon)

Dessin final - 1:300
CARTOGRAPHIE, ABSTRACTION DU LAC
ECHELLE 1:300
LA PROTOFIGURE
La protofigure est un outil de lecture graphique qui permet de transmettre un propos. L’idée est d’expliciter un détail ou un système en faisant abstraction de son environnement, le tout dans un figuration graphique facile à comprendre. La simplification se fait avant tout après la compréhension du territoire (raison de notre arpentage expliqué ci-dessous)
Lier Evian et la Venoge ? C’est possible selon nous en faisant abstraction du lac, il disparait. Mis l’un à coté de l’autres, les deux sites se voient mettre en évidence leur différences et leurs similitudes. Dans ce cas, où les voit-on ? On les remarque sans doute le mieux en examinant de plus prêt leurs chemins piétons. On relève des différences de rythme, de relief, d’ombre, et de bâti mais aussi des similitudes au niveau de la végétation, de la température et de la biodiversité. Le Pavillon de Prouvé semble avoir une certaine importance au sein d’Evian. Ainsi il pourrait être intéressant de penser une protofigure qui amènerait les passants à cette architecture par les voies piétonnes, afin de faire de deux sites un unique lieu dont les axes de construction se tournerait vers un seul point d’intérêt : le Pavillon (en tenant compte du flux).
ARPENTAGE DES CHEMINS PIETONS
ECHELLE - 1:300
MATERIAUX - Carton orange et blanc et baguette de bois 2[mm] x 5[mm]
TECHNIQUE - L'arpentage est basé sur de critères: Les segments définis par les baguettes inférieures sont tous dirigés vers le centre de gravité du pavillon. Les segments définis par les baguettes supérieures sont incliné à 90° par rapport au tracé qui les précède.
DESSIN - WORK IN PROGRESS
ECHELLE 1:300
LE POINT D'INTERÊT
JEAN PROUVE, PUMP ROOM OF CACHAT SPRING, EVIAN, FRANCE, 1965
DIEGO TERNA
MAQUETTE FINALE EN 1:33
Luana a 28 ans.
Elle habite dans un immeuble à Saint-Sulpice.
Luana va courir, tous les matins, pour décompresser.
Il est 6:30. Luana va courir au bord de la route qui longe la Venoge. Elle arrive à la fin de sa course. La femme cherche un endroit plat où il n’y a pas de voitures.
Il y a un petit chemin discret, dans la forêt, qui descend vers la rive.
Luana le prend, jusqu’au bord de la Venoge et voit un mur vertical de 3 mètres de hauteur, qui dévie le chemin vers l’eau. D’un côté du mur, il y a une bouche d’eau usée qui s’écoule dans la Venoge, formant un certain courant.
De l’autre côté, il a un plan horizontal sur l’eau.
Luana descend sur le plan horizontal formé d’un plancher en bois, qui vient épouser le sol et se prolonge au-dessus de l’eau jusqu’au mur. Elle avance jusqu’au bout de la plateforme, où elle a une vue sur la Venoge. Luana se repose et détend ses pieds dans l’eau, pour récupérer de sa course. Une fois finie, Elle reprend le chemin dans le sens inverse.
ZOOM DE LA MAQUETTE 1:33
Le haut mur vertical, constitué de béton, permet de cacher toute visibilité de la bouche d’eau usée, tout en redirigeant le courant qui provient de sa sortie. Puis, le plan horizontal nous donne accès à une zone d’eau plus stagnante, où l’on peut venir y tremper les pieds.
Le tout crée un espace séparé de cette bouche d’eau usée, cependant ouvert sur le reste de la Venoge.
Viendrait-on rallonger ce plan sur l’eau de façon à ce que celui-ci devienne une promenade longeant la Venoge ? Serait-il possible de trouver un moyen pour rediriger l’eau sur une plus longue durée ?
DETAIL CONSTRUCTIF EN 1:33
CRASH TEST MUR 1:33