Une collaboration entre les groupes Gardens, Protostructure, Protofigure et Ground pour mettre en place un fragment au 1:1 de l'éventuel construction sur site.
Une collaboration entre les groupes Gardens, Protostructure, Protofigure et Ground pour mettre en place un fragment au 1:1 de l'éventuel construction sur site.
Module assemblé (échelle 1:1)
Topographie - Site de St-Sulpice & Site d'Evian (échelle 1:1000)
Maquette concept - liaison entre les HOUSES (échelle 1:100)
Modules - différentes configurations (échelle 1:100)
Modules - types de cadres
Modules Tests - Orientation et forme
GARDEN_NANTERBRO:
- Isabella Kaiser, Amélie Burgniard, Loïc Hansroul, Arthur Stepczynski, Louis Caloz
- Valentin Schimdhausler, Mike Lerjen, Victor Duchasteldemontrouge, Grégoire Turbé
PLANES :
Maquette de Grégoire - échelle 1:33 Maquette de Victor - échelle 1:33
GARDENS: LE MUR D'ENCEINTE ET LE MICROCLIMAT
Giardini Panteschi, Ile de Pantelleria, Italie (1). Sûrement construits par des colonisateurs phéniciens il y a plus de 3000 ans. De forme circulaire, le mur d'enceinte protège la végétation, ici un citronnier, des forts vents qui caractérisent cette ile méditerranéenne située non loin de la côte tunisienne.
La maçonnerie en pierre était utilisé par le passé dans la conception de jardins pour ses propriétés calorifiques lui permettant de stocker la chaleur et donc de rayonner vers l'intérieur de ceux-ci. La brique nous permet d'apporter ces qualités tout en ajoutant y un ordre. Le Garden offre également des vues ponctuelles sur nos planes respectifs, les reliant ainsi tous deux de manière visuelle.
Plan - échelle 1:33
Axonométrie - échelle 1:33
Détails de maçonnerie - échelle 1:6
Perspective
BIBLIOGRAPHIE:
(1):https://www.donnafugata.it/en/press-releases/28533/, The Pantellerian Garden at Khamma, Baldo M. Palermo, Laura Ellwanger, Nando Calaciura, 12 septembre 2008
UNE APPROCHE
Tout constructeur est, à un moment donné de son processus de création, confronté au dilemme suivant : comment lier cette nouvelle architecture au lieu d’implantation? En effet, il faut déjà admettre que construire sur un site implique forcément la destruction–ou du moins la transformation—d’un antécédent. Dès lors, plusieurs itérations possibles s’offrent à nous. Il y a, entre autres, la voie radicale, celle qui fait table rase afin de remplacer ce qui était par quelque chose que l’on juge considérablement supérieur, adopté par exemple par Le Corbusier dans son plan voisin pour Paris dans les années 1920. Ou bien, on peut chercher à s'intégrer, s'inscrire au lieu et donc tirer profit de ses qualités pour le rehausser davantage. C’est notamment ce qu’a fait Frank Lloyd Wright avec une architecture organique dans la grande majorité de ses réalisations et plus particulièrement dans le Fallingwater.
Observons un détail d’escalier de cette maison, suspendu à la dalle principale et surplombant un plan d'eau.
Frank Lloyd Wright, Fallingwater, 1935, Mill Run, Pennsylvania, USA. Coupe significative (1) Il y a une grande impression de légèreté qui produit une sensation de concordance entre le créé et l'existant.
UNE RÉALITÉ
Poursuivant les explorations des phases précédentes sur la notion d’équilibre et intégrant l'approche de Wright, il a été question de concevoir une revalorisation du site. Celui-ci constitue un terrain vague, recouvert de troncs morts et d’innombrables branches, au lieu précis où débute le corridor naturel se prolongeant jusque dans les profondeurs de la forêt.
L’élément horizontal est constitué de plâtre; il s’agit d’un plane marquant le plan Oxz sur lequel l’humain, bipède, se déplace le plus aisément. Les éléments verticaux, d’une matérialité autre, sont des éléments ponctuels altérant la spatialité de ce premier. Ils créent un intérieur et un extérieur. Placés dans ce corridor naturel, ils le segmentent, et produisent un espace intermédiaire entre Venoge et forêt. De part et d’autre, la végétation marque le seuil complémentaire refermant entièrement l’espace.
Le lieu est créé. Le passant, à la recherche d’un lieu de repos y entre. Il s’assied, s’adosse contre la paroi verticale et observe la forêt environnante. Il l’observe davantage et oublie la structure qui l’entoure. Se levant, il contourne la paroi opposée et s’aventure dans les profondeurs de la végétation.
Perspective
Vue en élévation - maquette échelle 1:33
BIBLIOGRAPHIE:
LE SITE:
Du sentier vers l'empreinte
SEMAINE 5: PREMIÈRE TENTATIVE
Le concept garde à l'esprit le contraste antérieurement évoqué entre densité et légèreté, entre centralité et périphérie. C'est l'idée d'une fondation allant rechercher la verticalité afin de, par la suite, pouvoir supporter une paroi horizontale ou une toiture à une hauteur précise, dans ce cas de 2,50m. Dans une zone dégagée, cet élément pourrait facilement être répété, afin de créer un ensemble de fondations supportant une éventuelle structure plus vaste.
Dessin de Monge - 1:3 Axonométrie - 1:3
SEMAINE 6: SECONDE TENTATIVE
Voulant joindre les différentes parties de l'élément afin de créer un ensemble cohérent, nous avons conçu cette deuxième tentative comme une approche plus directe à notre problématique. Le rapport au sol devient fondamental; ces mêmes composantes en bois qui tiendront la future structure en hauteur, s'enfoncent également dans le sol en tant que pieux, assurant ainsi une stabilité contre les mouvements latéraux.
Dessin de Monge - 1:3 Axonométrie - 1:3
Images du moule sur le terrain
Vidéo du coulage
Test échoué: plâtre trop épais - 1:3
Element final - 1:3